François MITTERRAND

Nous sommes le 24 février 2022

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Donc passé présent par rapport à la cible, le sujet qui il y a dans cette enveloppe.

 

On me fait voir une personne qui a un caractère bien trempé, un caractère fort, il est décidé dans ses idées, et je vois cette personne acclamée par une foule de personnes, elle est envahie par cette foule. Là, on me fait voir comme un convoi de bateaux, ils arrivent à bon port, ils ont réussi leurs parcours. Là, on me fait voir une ancre de bateau et on me dit que l'ancre est solidement amarrée au fond marin. On me dit que cette personne à l'esprit d'un dictateur. Je sens comme une odeur d'air marin, comme une odeur qui invite à la détente. On me refait voir ce moment ou cette personne et acclamé par cette foule de personnes, on me parle de délire, de joie. Là, on me parle d'un roman, comme une histoire burlesque, absurde, ridicule. On me fait voir une cigarette qui se consomme très vite ;dans cette situation cela apporte de la détente et de l'énergie. Je ressens une sensation de plénitude, d'engagement et de joie et de satisfaction, un sentiment d'accomplissement. J'entends comme des acclamations. Là, on me parle comme d'un grand chef, c'est lui qui décide et il pose ses conditions, il donne des ordres avec autorité, c'est cette personne qui dirige et qui donne le sens de la marche. Je ressens une personne qui ne lâche rien, combative. Cette personne aime la solitude et elle peut-être irritable.

 

Donc maintenant le présent futur par rapport à la cible, le sujet qui il y a dans cette enveloppe.

 

On me dit le mot débarquement, comme si cette personne avait débarqué à bon port, comme quitter le bateau sans autorisation. Là, on me dit le mot district, comme une administration, et je vois cette personne, elle cherche son chemin, prends-t-elle à gauche ou à droite ; avec toute cette troupe derrière elle. Elle ne sait où aller... Je ressens cette personne très active, elle vagabonde de-ci delà, elle se déplace sans destination. Là, on me fait voir une couronne à base de feuilles de laurier, on me dit "Victoire".

Là, on me fait voir en image comme une projection d'un film, et en fait, je vois comme un convoi de véhicules qui fait retour en arrière, comme un flash-back de la vie. Là, on me fait voir comme un tableau, on écrit des mots puis on les efface lentement.